Un peu d’histoire
L’École a été fondée en 1783, à une époque où l’exploitation minière représentait un secteur de haute technologie. Ce domaine faisait face à des défis majeurs en matière de sécurité des employés, de planification économique et de géopolitique, notamment en ce qui concerne l’accès aux matières premières rares ou stratégiques.
Depuis 240 ans, contribuer à relever les grands défis de notre temps
Le une ordonnance du roi Louis XVI, fonde l’École Royale des mines dans le but de former des sujets pour conduite les ouvrages de recherche et d’exploitation des minéraux avec autant de sûreté que d’économie.
Installée depuis 1816 au cœur du Quartier Latin, dans l’ancien Hôtel de Vendôme, en bordure du Jardin du Luxembourg, l’École s’est étendue en 1967 à Fontainebleau (à 500 m du château), et à Corbeil puis Évry (dans les locaux de la SNECMA), enfin en 1976 dans le parc technologique de Sophia Antipolis, à Valbonne près de Nice.
Chargée originellement de la formation des ingénieurs civils des Mines de Paris et des Corps techniques de l’État, l’École a développé depuis les années soixante des activités de recherche et d’enseignement de troisième cycle (mastères spécialisés, doctorat), en liaison avec l’industrie et en partenariat avec l’association ARMINES.
Elle a ainsi accompagné les grandes mutations scientifiques et technologiques comme le développement du chemin de fer, de l’énergie nucléaire, de l’informatique (du centre de morphologie mathématique au quantique), mais aussi sociétale avec par exemple, la définition des entreprises à mission issue des travaux du Centre de Gestion scientifique.
En 2012, l’École rejoint l’Idex Paris Sciences et Lettres en qualité de membre fondateur. Aujourd’hui, elle est l’un des 11 établissements de l’Université PSL.