Formations complémentaires
Les doctorants en formation initiale doivent compléter un socle de formation de 90 heures et ont la possibilité d’entreprendre des activités complémentaires rémunérées.

Formations complémentaires obligatoires
Les doctorants en formation initiale doivent compléter un socle de formation de 90 heures. Ce socle est composé de :
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Modules d’approfondissement scientifique ou technique : Ces formations, liées aux disciplines du projet de recherche, peuvent être imposées par le directeur de thèse ou le responsable de spécialité doctorale. Elles sont choisies parmi des cours de cycles ingénieur, masters, mastères spécialisés, écoles scientifiques thématiques, écoles doctorales, ou MOOC de niveau master ou supérieur. La validation de ces modules peut nécessiter une évaluation, selon les directives du directeur de thèse ou du responsable de spécialité doctorale. Les cours de méthodologie sur les outils de recherche internes au laboratoire sont validés jusqu’à 10 heures.
- Modules d’ouverture scientifique : ces modules, au choix du doctorant, visent à élargir les horizons scientifiques.
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Modules de formation à l’éthique de la recherche et à l’intégrité scientifique : ces modules sont essentiels pour assurer une pratique de recherche rigoureuse et éthique.
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Modules transverses : ils favorisent le développement professionnel du doctorant, incluant des connaissances sur le monde économique, la communication, l’animation d’équipe, et l’insertion professionnelle.
Les doctorants en formation tout au long de la vie vie sont exonérés des formations transverses. Ils doivent suivre 45 heures de formation, comprenant des modules scientifiques (approfondissement et ouverture) et de formation à l’éthique de la recherche et à l’intégrité scientifique.
Les cours scientifiques dispensés au sein du programme gradué ISAI sont ouverts aux doctorants sur accord préalable de l’enseignant.
Activités complémentaires
Les doctorants sous contrat dans les établissements publics d’enseignement supérieur ou de recherche ont la possibilité d’entreprendre des activités complémentaires rémunérées, dans la limite d’un sixième de leur temps de travail annuel effectif.
Ces activités doivent être en adéquation avec le projet doctoral et nécessitent la validation préalable du directeur de thèse. Elles sont modulables et peuvent être cumulées, qu’elles soient effectuées dans ou en dehors du cadre du contrat doctoral (se référer aux modalités propres des établissements de préparation de thèse).
Les trois types d’activités possibles :
Une mission d’enseignement, y compris dans le cadre de la formation continue, pour un maximum de 64 heures par an (cours magistraux, travaux dirigés ou pratiques).
Une mission dans les domaines de la diffusion de l’information scientifique et technique ou de la valorisation des résultats de la recherche, limitée à 32 jours de travail par an.
Une mission d’expertise au sein d’une entreprise, collectivité territoriale, administration, établissement public, association ou fondation, également restreinte à 32 jours de travail par an.